Au départ, habiter Tiong Barhu était le privilège des classes aisées et aussi l'endroit dans lequel les riches et puissants de l'époque gardaient leurs maîtresses. Peu à peu, le quartier a perdu de son aura pour devenir beaucoup plus populaire. Aujourd'hui, à la manière de nos bobos français, de jeunes couples argentés et sophistiqués réinvestissent les lieux pour lui insuffler un "nouveau souffle". Savent-ils qu'ils habitent un lieu qui autrefois fut planté de taros pour nourrir les cochons ou que Tiong Bahru signifie "nouveau cimetière" dans un mélange de hokkien et de malais ?... Branchitude, quand tu nous tiens...
vendredi 2 décembre 2011
Tiong Bahru
Au départ, habiter Tiong Barhu était le privilège des classes aisées et aussi l'endroit dans lequel les riches et puissants de l'époque gardaient leurs maîtresses. Peu à peu, le quartier a perdu de son aura pour devenir beaucoup plus populaire. Aujourd'hui, à la manière de nos bobos français, de jeunes couples argentés et sophistiqués réinvestissent les lieux pour lui insuffler un "nouveau souffle". Savent-ils qu'ils habitent un lieu qui autrefois fut planté de taros pour nourrir les cochons ou que Tiong Bahru signifie "nouveau cimetière" dans un mélange de hokkien et de malais ?... Branchitude, quand tu nous tiens...
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C'est un peu la même histoire que celle de la Cité radieuse, résidence édifiée à Marseille entre 1945 et 1952 par Le Corbusier, qui hésite entre le branché nouveau riche et le déconnecté ancien pauvre...
RépondreSupprimerS&G